Les jeunes en Afrique centrale et de l’ouest privilégient les réseaux sociaux aux médias traditionnels. Toutefois, tant dans les médias de masse que sur les plateformes numériques, les fausses informations sont omniprésentes, nécessitant l'adoption de mesures préventives contre ces infox.
Monique Ngo Mayag à Dakar et Oluwasegun Olakoyenikan au Nigeria sont des exemples parmi de nombreux journalistes-factcheckers en Afrique. De plus en plus de rédactions intègrent des rubriques de fact-checking pour vérifier et contextualiser l'information.
La liberté de la presse est un système démocratique. Il repose sur la liberté d’opinion et la liberté d’expression. Elle est l’une des principales libertés de l’homme. (D’après l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948.)
La Coupe du Monde de Football 2022, très attendue, est entachée de controverses et de fausses nouvelles. Le "débunkage", pratique en croissance sur internet, consiste à vérifier et corriger ces fausses informations, comme illustré par l'exemple des rumeurs sur la grand-mère d'Embolo.
La plateforme chinoise de vidéos courtes, lancée en 2016, étend son activité en Afrique. Elle concurrence déjà Twitter, Instagram et Snapchat, a signé un partenariat avec les droits d'auteurs de 22 pays africains et sponsorisé la CAN 2022, soutenant les artistes locaux.
En Afrique, les jeunes utilisent internet pour s'exprimer, ce qui pousse certains États à limiter l'accès sur des thèmes délicats. En 2020, plusieurs pays ont bloqué internet, alors que les entreprises tech renforcent les investissements pour étendre le haut débit.
